La Fisheye Gallery s’invite naturellement à Arles cette année pour offrir aux visiteurs une expérience visuelle singulière avec l’exposition Sous les paupières closes. Du 7 juillet au 5 octobre, un collectif de quatre artistes émergents propose un cadavre exquis d’images où le réel se mêle à l’imaginaire, révélant une vivacité toute particulière dans le paysage de l’art contemporain.
Nostalgique des Polaroid instantané ? Voilà ce que tu dois retenir :
- ✅ Point clé #1 : L’exploration inédite des perceptions visuelles grâce à l’approche collaborative du cadavre exquis d’images.
- ✅ Point clé #2 : La capacité de ces artistes à mêler photographie, art numérique et mises en scène oniriques pour stimuler ta créativité.
- ✅ Point clé #3 : Éviter de réduire la photographie à un simple miroir du réel en découvrant un art qui interroge et challenge la culture visuelle traditionnelle.
- ✅ Point clé #4 : Profiter d’une expérience immersive dans l’espace Fisheye Gallery d’Arles, véritable tremplin pour la scène émergente.
Comment la Fisheye Gallery fait vibrer la scène d’Arles 2025 avec “Sous les paupières closes”
Chaque année, Arles est une promesse pour tous les passionnés d’art contemporain et de photographie. En 2025, la Fisheye Gallery fait un choix audacieux en proposant une exposition collective autour du concept du cadavre exquis — un exercice créatif qui invite à composer des images en résonnance, sans plan préalable, pour surprendre le spectateur. C’est la première fois depuis longtemps qu’un espace situé au cœur du festival plonge aussi profondément dans l’exploration d’une mémoire visuelle collective, au croisement entre l’inconscient, le rêve et la photographie expérimentale.
Quand tu te balades dans la galerie, c’est exactement cette approche qui t’attend : une succession de photographies, installations et images numériques qui s’enchâssent les unes dans les autres, sans aucune hiérarchie. La scénographie délibérément fragmentée casse les codes traditionnels, invitant à l’errance et à la réinterprétation constante. Le toucher, que ce soit à travers des écrans tactiles ou des éléments papiers épais, vient renforcer le lien sensitif entre toi et les images exposées.
Pour mieux comprendre l’impact de cette exposition dans le paysage artistique d’Arles, il suffit de regarder la sélection des artistes présentes : Nyo Jinyong Lian, Eloïse Labarbe-Lafon, Rose Mihman et Anna Muller. Chacune apporte sa propre signature en mêlant photographie documentaire, techniques numériques et langage plastique contemporain. Cette pluralité nourrit la dynamique collective et offre plusieurs portes d’entrée à l’œuvre finale : une mosaïque esthétique et sensorielle à découvrir sur le site de L’Œil de la Photographie.
- 🎨 Artistes émergents : créativité débridée et voix nouvelles
- 🖼️ Exposition collective : une conversation visuelle entre œuvres diverses
- 🔍 Exploration de la perception : au-delà de l’image traditionnelle
- 🎯 Lieu emblématique : Fisheye Gallery, ancrée à Arles
Aspect | Description | Valeur ajoutée |
---|---|---|
Thématique | Cadavre exquis d’images sous les paupières closes | Invitation à une lecture associative et multiple |
Techniques | Photographie, art numérique, installations | Mixité des supports pour une immersion tactile et visuelle |
Public visé | Amateurs d’art, photographes, curieux | Accès libre à une expérience interactive et innovante |

À lire également :
Le Soleil capturé comme jamais auparavant : les secrets révélés par ces images précieuses
Dans l’univers de la photographie solaire, une révolution s’est opérée avec la publication récente d’images exceptionnelles du Soleil prises avec une netteté et une proximité…
Andreas Gursky revient à Paris avec une œuvre qui capte l’essence d’un monument de l’architecture moderne : la résidence de la rue du Commandant-Mouchotte. Trente…
Une invitation à repenser la photographie contemporaine à Arles 2025
La photographie y est loin d’être figée. Sous l’intitulé Sous les paupières closes, la Fisheye Gallery propose une lecture renouvelée de la photographie contemporaine, s’éloignant des clichés pour embrasser la subjectivité et les possibles du médium. Cela invite à repenser ses codes et sa place dans l’art contemporain.
Par exemple, Eloïse Labarbe-Lafon questionne le rapport entre mémoire et image. Sa série mélange des clichés argentiques avec des manipulations numériques, créant des allers-retours entre passé et présent, réel et imaginaire. Dans la même veine, Nyo Jinyong Lian joue sur la disparition et l’apparition, usant des ombres portées et des textures visuelles presque picturales pour brouiller ta perception.
Cette démarche incite à renouveler ton regard sur les images, à développer une lecture plus poétique et décalée. En t’aventurant dans cette exposition, tu pourras comprendre pourquoi la photographie ne se limite plus à « photographier un sujet », mais s’affirme comme un médium capable d’éveiller la sensibilité à travers l’imaginaire collectif.
- 📷 Exploration novatrice : dialogue entre mémoire, rêve et technologie
- 🧠 Perception sensorielle : mise en avant du ressenti au-delà de la vision
- 🖥️ Art numérique intégré : créations hybrides qui bouleversent les catégories habituelles
- 🌀 Interactivité : expérience immersive en lien avec le spectateur
Artiste | Approche | Impact visuel |
---|---|---|
Eloïse Labarbe-Lafon | Mémoire photographique et nouvelle technique hybride | Fusion entre nostalgie et modernité, émotions contrastées |
Nyo Jinyong Lian | Exploration des formes et de l’ombre en photographie | Effets visuels presque picturaux, ambiguïté des images |
Rose Mihman | Interprétation surréaliste de la vie quotidienne | Sensations étranges, rêves éveillés |
Anna Muller | Installation multimédia immersive et disruptive | Interaction avec le spectateur, immersion sensorielle |
À lire également :
Une nouvelle perspective sur la photographie expérimentale des années 20
La photographie des années 20 a été un véritable laboratoire d’innovation où l’expérimentation a explosé à travers des mouvements artistiques qui ont profondément transformé les…
La santé mentale mise en lumière par le regard artistique de Jean-Luc Konkobo en Côte d’Ivoire
En Côte d’Ivoire, le travail artistique de Jean-Luc Konkobo déchire le voile souvent épais qui entoure la santé mentale. Par l’objectif de son appareil photo,…
Une scénographie pensée pour stimuler ta créativité et ta perception visuelle
Au-delà des images elles-mêmes, le parcours proposé par la Fisheye Gallery mise sur une scénographie innovante où ton corps et ton regard deviennent des éléments essentiels. Les œuvres sont organisées pour créer un flux continu, où chaque image agit comme une pierre dans un puzzle que tu reconstitues mentalement.
Tu parcourras ainsi des couloirs sombres, des espaces lumineux, des compositions murales en apesanteur. Cette organisation prend appui sur le principe du cadavre exquis : chaque image en appelle une autre dans une logique associative, presque onirique. Le dispositif incite à l’exploration, à la découverte sans but précis, idéale pour stimuler ta créativité.
Par exemple, les œuvres d’Anna Muller apportent cette dimension immersive avec un travail sur vidéo et projection, bouleversant ton repère temporel. Rose Mihman, de son côté, propose des séries d’images énigmatiques, hyper travaillées, qui invitent à la contemplation et à la rêverie. Cette diversité stimule différentes zones du cerveau, celle de la mémoire, mais aussi celle de l’intuition.
- 👁️🗨️ Imprégnation sensorielle : toucher, lumière et mouvement au service de l’image
- 🧩 Expérience interactive : le parcours te fait acteur de ta propre lecture
- 🎭 Cadavre exquis : co-création et surprise permanente
- 🎥 Technologies immersives : vidéo, projections et dispositifs multimédias
Élément scénographique | Fonction | Effet sur le visiteur |
---|---|---|
Espaces lumineux et sombres | Compenser la valeur narrative de chaque image | Accentue l’attention et la perception émotionnelle |
Installations multimédia | Créer un climat d’immersion | Favorise l’engagement actif et la surprise |
Parcours non linéaire | Encourager la liberté de choix et d’interprétation | Stimule l’imagination et la réflexion |
À lire également :
Kelly Adeline s’est imposée ces douze dernières années comme une figure incontournable de la photographie à Agen. Photographe passionnée et engagée, elle ne se contente…
Rencontres d’Arles 2025 : David Armstrong, une plongée dans l’underground révélé
Les Rencontres d’Arles 2025 offrent une occasion unique de redécouvrir David Armstrong, photographe d’exception dont le regard délicat a capturé l’essence vibrante et mélancolique de…
Pourquoi cette exposition est un événement majeur pour la culture visuelle en 2025
Dans un monde où la surabondance d’images est la norme, des expositions comme Sous les paupières closes sont essentielles pour réinventer la manière dont nous interagissons avec notre culture visuelle. La Fisheye Gallery choisit d’agir comme un catalyseur et un laboratoire d’expériences plastiques qui vont au-delà de la simple photographie.
En mêlant photographie, art numérique et installation, ce projet défie ta manière de consommer l’image. Les artistes explorent la notion de cadavre exquis pour créer un dialogue entre inattendu et continuité, invitant à penser la création comme un processus vivant, en transformation constante. Cela répond aussi à une tendance plus globale dans l’espace artistique 2025 qui valorise la transversalité des disciplines et l’interactivité.
Tu pourras découvrir plus d’informations et des critiques approfondies sur ce projet sur des plateformes reconnues comme Fisheye Magazine ou Sud Vibes, qui soulignent la portée de cette exposition dans le contexte des Rencontres d’Arles.
- 🌍 Réinvention culturelle : renouvellement de la perception des images
- 🔄 Processus créatif collectif : partage d’idées et surprise permanente
- 🖼️ Mixité des disciplines : photographie, numérique, art contemporain
- 📈 Impact local et international : un rendez-vous que personne ne veut manquer
Atout | Conséquence | Public concerné |
---|---|---|
Innovation artistique | Replication de la créativité dans la photographie contemporaine | Photographes, curateurs, amateurs d’art |
Engagement du visiteur | Participation active dans la co-création | Public large, jeunes et professionnels |
Visibilité accrue des artistes émergents | Reconnaissance et nouvelles opportunités | Scène artistique et média |
À lire également :
Plongée dans l’exposition ‘autres regards’ au cœur de la rue Alibert
Située au n° 6 de la rue Alibert, la galerie photo « Autres regards » t’invite à une plongée immersive dans un univers photographique hors…
À l’occasion des Rencontres d’Arles, un événement phare pour les passionnés de photographie, Rachida Dati, ministre de la Culture, a relancé l’idée d’implanter un musée…
Les photographes et créateurs clés derrière “Sous les paupières closes”
L’univers de cette exposition repose sur le talent de quatre artistes captivantes dont les démarches ne cessent de renouveler les approches classiques de la photographie et du cadavre exquis. Chacune travaille à sa façon l’essence même des images et propose des trajectoires diverses où le regard est convoqué à plusieurs niveaux.
- 🎨 Eloïse Labarbe-Lafon : fusion entre photographie analogique et numérique, elle explore la mémoire et le souvenir.
- 🌑 Nyo Jinyong Lian : mise en scène des ombres et des formes, son travail questionne l’apparition et la disparition.
- 💭 Rose Mihman : joue avec le surréalisme et les narrations fragmentées pour titiller ton imagination.
- 🎥 Anna Muller : multimédia et installations immersives sont ses terrains d’expression favoris.
Leurs œuvres sont toutes visibles à la Fisheye Gallery située au 19 Rue Jouvène à Arles. Pour apprécier pleinement cet univers, mieux vaut prévoir un temps suffisant et s’immerger dans leurs différents langages. Leurs approches croisées incarnent la richesse du cadavre exquis et montrent comment la photographie contemporaine peut dialoguer avec d’autres formes d’expression artistique.
Artiste | Style | Technique principale | Particularité |
---|---|---|---|
Eloïse Labarbe-Lafon | Photographie hybride | Photographie argentique et numérique | Accent sur la mémoire et le temps |
Nyo Jinyong Lian | Exploration des formes | Jeux d’ombre et lumière | Ambiguïté visuelle |
Rose Mihman | Surréalisme | Manipulations numériques | Rêverie active du spectateur |
Anna Muller | Installation multimédia | Projection vidéo et sons | Immersion sensorielle |
Foire aux questions sur “Sous les paupières closes” et Arles 2025
- Quelle est la durée de l’exposition “Sous les paupières closes” à Arles ?
L’exposition se déroule du 7 juillet au 5 octobre 2025, à la Fisheye Gallery d’Arles. - Quels types d’œuvres suis-je susceptible de voir ?
Une gamme variée comprenant des photographies, des installations numériques, des projections vidéo et des créations surréalistes en art contemporain. - Comment le concept de “cadavre exquis” est-il mis en œuvre dans cette exposition ?
Les artistes créent des œuvres enchaînées sans plan préalable, offrant un dialogue visuel mouvant où chaque image évoque la suivante dans une continuité créative. - La visite est-elle adaptée aux amateurs non initiés ?
Certainement, l’exposition est pensée pour que chacun puisse s’immerger à son rythme, avec une mise en scène immersive et interactive facilitant la compréhension. - Où trouver plus d’informations sur cette exposition ?
Plus d’informations sont disponibles sur le site officiel de la Fisheye Gallery et dans plusieurs médias spécialisés comme L’Œil de la Photographie ou Fisheye Magazine.
Cette exposition semble fascinante, vraiment hâte de découvrir ces nouvelles perspectives artistiques.
Cette exposition semble vraiment inspirante ! Hâte de découvrir ces œuvres uniques à Arles.
Cette exposition semble être un véritable voyage visuel, ne manquez pas de l’explorer !
Cette exposition réveille vraiment l’imagination et invite à réfléchir sur la photographie différemment.
Cette exposition semble incroyable ! J’adore l’idée de mélanger différents styles artistiques.